L’entrepreneuriat africain continue de gagner du terrain grâce à l’initiative de la Tony Elumelu Foundation (TEF). Le 22 mars 2025, la fondation a
L’entrepreneuriat africain continue de gagner du terrain grâce à l’initiative de la Tony Elumelu Foundation (TEF). Le 22 mars 2025, la fondation a annoncé une enveloppe de 15 millions de dollars (près de 10 milliards de FCFA) pour financer 3 000 jeunes entrepreneurs issus de 52 pays, dont deux Gabonais. Cette 11ᵉ cohorte illustre une fois de plus l’engagement de la TEF à autonomiser la jeunesse africaine.
🚀 Un soutien au-delà du financement
Chaque bénéficiaire recevra 5 000 dollars en subvention non remboursable pour lancer ou développer son projet. Mais au-delà du soutien financier, la TEF met en place un programme d’accompagnement sur mesure, incluant mentorat, formations et accès à un réseau panafricain. Un tremplin unique pour accélérer la croissance des startups et favoriser les collaborations à travers l’Afrique.
🌍 Un impact économique majeur
Depuis sa création, le programme lancé par Tony Elumelu a déjà investi plus de 100 millions de dollars, touché 1,5 million de jeunes, créé 400 000 emplois et généré 2,5 milliards de dollars de revenus. Un véritable levier de transformation économique pour le continent. Comme le souligne l’homme d’affaires nigérian :
🗣️ « Avec le bon soutien, les jeunes Africains peuvent transformer l’économie du continent. »
🔎 Le regard de Com d’Afrik
Cette initiative s’impose comme un modèle de financement efficace face au défi de l’accès aux capitaux pour les jeunes entrepreneurs africains. Alors que les banques et investisseurs privés restent frileux, la TEF prouve qu’un engagement stratégique peut catalyser l’innovation et la croissance sur le continent. Mais le défi reste entier : comment assurer un suivi efficace et un impact durable pour ces startups ? L’Afrique a besoin de plus d’initiatives locales et publiques pour accompagner cette dynamique et créer un écosystème favorable à l’entrepreneuriat.
💬 Que pensez-vous de ce programme ? Peut-il réellement transformer le paysage entrepreneurial africain ?
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