Depuis le 30 août 2023, la transition menée par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema était censée marquer une rupture avec les pratiques du passé.
Depuis le 30 août 2023, la transition menée par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema était censée marquer une rupture avec les pratiques du passé.
Pourtant, de plus en plus de voix s’élèvent contre une gouvernance teintée de favoritisme ethnique et clanique.
Un cri d’alarme de Mouity Nzamba
Benoît Joseph Mouity Nzamba, président du Parti gabonais du progrès (PGP), a récemment pris la parole pour dénoncer une montée du sectarisme politique.
Selon lui, des structures communautaires influentes comme Ossimane et Tsoumou bénéficieraient d’un soutien particulier du pouvoir en place, menaçant ainsi l’unité nationale.
Une transition sous tension ?
Oligui Nguema est-il en train de reproduire les erreurs du passé ?
La transition peut-elle réellement être inclusive et équitable si certaines communautés sont privilégiées ?
Le Gabon est-il à l’aube d’une nouvelle ère de division ?
Un enjeu crucial à l’approche de 2025
Avec l’élection présidentielle prévue en avril, cette question est plus pertinente que jamais.
La transition, censée réconcilier les Gabonais, risque-t-elle de fragiliser la cohésion sociale par des logiques de clanisme et de favoritisme ?
Le regard de Com d’Afrik
L’histoire politique du Gabon a trop souvent été marquée par des fractures ethniques et des stratégies d’exclusion.
Si la transition veut réellement rétablir la confiance, elle doit garantir une gouvernance équitable et transparente. La stabilité du pays est en jeu.
Quelle est votre analyse ? La transition est-elle sur la bonne voie ? 
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