En Iran, les violences faites aux femmes ne sont pas seulement tolérées, elles sont institutionnalisées. Les organisations de défense des droits humai
En Iran, les violences faites aux femmes ne sont pas seulement tolérées, elles sont institutionnalisées. Les organisations de défense des droits humains alertent sur une recrudescence alarmante des féminicides, rendue encore plus tragique par un cadre légal qui protège les bourreaux et réduit les femmes à un statut de citoyennes de seconde zone. 💔🚫
📉 Les chiffres qui glaçent le sang :
🔺 Une femme est tuée toutes les 48 heures.
🔺 133 femmes assassinées en 10 mois par des proches en 2024.
🔺 18 féminicides recensés en janvier 2025 seulement.
Les crimes dits « d’honneur », où des maris, pères ou frères exécutent des femmes sous prétexte de préserver l’honneur familial, sont largement impunis. La loi iranienne, fondée sur la charia, accorde des peines dérisoires aux coupables et va jusqu’à autoriser un homme à tuer sa femme en cas d’adultère. Une justice biaisée qui renforce un cycle de violence systémique. ⚖️💀
📢 Quand la résistance brise le silence !
Face à cet enfer légal, la société iranienne s’organise et se mobilise. Grâce aux réseaux sociaux, des militantes documentent et dénoncent ces atrocités, malgré la censure et la répression. Le mouvement « Femme, Vie, Liberté », né après la mort de Mahsa Amini en 2022, continue d’incarner l’espoir d’un changement radical. 🌿🔥
🔎 Le regard de Com d’Afrik
L’Iran illustre un paradoxe glaçant : un État qui, sous couvert de tradition et de religion, érige la violence en norme sociale. La question n’est plus de savoir si ces lois doivent changer, mais combien de vies seront encore brisées avant que la communauté internationale ne mette une pression réelle sur le régime iranien.
📌 Et vous, pensez-vous que les dénonciations sur les réseaux sociaux puissent réellement accélérer le changement en Iran ? 💬👇
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