CEMAC : Un colloque international pour repenser la dette souveraine

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CEMAC : Un colloque international pour repenser la dette souveraine

Les 10 et 11 avril 2025, Yaoundé sera le théâtre d’un colloque d’envergure internationale sur la dette souveraine des six États membres de la CEMA

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Temps de lecture : 2 min

Les 10 et 11 avril 2025, Yaoundé sera le théâtre d’un colloque d’envergure internationale sur la dette souveraine des six États membres de la CEMAC (Cameroun, Congo, Gabon, Guinée équatoriale, Tchad et République centrafricaine). Placé sous le thème « Dette souveraine des États de la CEMAC et opportunités de restructuration », cet événement vise à proposer des solutions adaptées aux défis économiques spécifiques de la sous-région.

Organisé par Contacturer Capital, Horus Investment Capital et le cabinet Akoa Mballa & Co, le colloque rassemblera des experts financiers, des représentants gouvernementaux et des bailleurs de fonds internationaux. Paul Onono, directeur général de Contacturer Capital, souligne l’enjeu majeur de cette rencontre :
📢 « Nos États ont accumulé une dette considérable au cours de la dernière décennie. Il est impératif de la repenser pour revitaliser nos économies. »

💡 Des débats stratégiques pour une gestion plus efficace
Les discussions porteront sur l’état actuel de la dette, les mécanismes de restructuration, et les solutions de financement innovantes. Avec une sous-région fragilisée par des tensions budgétaires et une baisse des réserves de change, une réflexion collective s’impose pour assurer un développement durable.

🔎 Le regard de Com d’Afrik
L’endettement excessif des pays de la CEMAC pose un défi majeur pour la souveraineté économique de la sous-région. Ce colloque arrive à un moment clé où des réformes structurelles s’imposent pour éviter un piège de la dette aux conséquences désastreuses. La question cruciale reste : la CEMAC saura-t-elle négocier des restructurations réellement bénéfiques et sortir du cycle infernal de l’endettement ? Il est temps d’adopter une vision stratégique et d’explorer des financements alternatifs pour garantir un avenir plus stable et prospère.

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