Ce 11 février, le Sommet pour l’action sur l’IA a réuni 61 États autour d’une déclaration commune prônant une intelligence artificielle ouverte, inclu
Ce 11 février, le Sommet pour l’action sur l’IA a réuni 61 États autour d’une déclaration commune prônant une intelligence artificielle ouverte, inclusive et éthique.
Cette initiative vise à garantir une gouvernance mondiale plus équitable de cette technologie révolutionnaire. Toutefois, les États-Unis et le Royaume-Uni ont refusé de signer, mettant en avant leurs propres intérêts nationaux.
🌏 Parmi les signataires, on retrouve la France, la Chine et l’Inde, qui plaident pour une régulation mondiale et une répartition plus équilibrée du marché de l’IA.
L’objectif ? Éviter une concentration des acteurs dominants et garantir un accès plus large aux innovations technologiques.
🇫🇷 Emmanuel Macron a insisté sur la nécessité d’un cadre de confiance et de règles claires pour encadrer l’essor de l’IA, tandis que les États-Unis, sous l’administration Trump, restent réticents à toute régulation.
📍 L’Inde accueillera le prochain sommet international sur l’IA, un choix stratégique pour impliquer davantage les pays émergents dans la gouvernance de cette technologie.
🔍 Le regard de Com d’Afrik
L’absence des États-Unis et du Royaume-Uni montre les fractures géopolitiques autour du contrôle de l’IA.
Si l’Europe et certains pays asiatiques militent pour une IA responsable, les grandes puissances anglo-saxonnes semblent privilégier une approche plus libérale et nationale.
L’Afrique, encore peu représentée dans ces discussions, doit-elle craindre une nouvelle fracture numérique ?
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