Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est réuni à Genève pour une session de six semaines, marquée par un constat alarmant : un recul glo
Le Conseil des droits de l’homme des Nations unies est réuni à Genève pour une session de six semaines, marquée par un constat alarmant : un recul global des droits fondamentaux et une remise en cause croissante du droit international.
António Guterres, secrétaire général de l’ONU, n’a pas mâché ses mots : « Des droits acquis de haute lutte ces 80 dernières années sont aujourd’hui asphyxiés les uns après les autres ». 😔
Les défenseurs des droits humains sont unanimes : les violations se multiplient à un rythme inquiétant.
De l’Afghanistan, où les femmes sont privées d’éducation 📚🚫, au conflit israélo-palestinien ⚔️, en passant par l’Ukraine 🇺🇦, la justice internationale peine à imposer ses principes face aux puissants de ce monde.
Patrick Baudouin, président d’honneur de la FIDH, met en garde contre un effondrement des institutions internationales au profit de logiques de marchandage et de rapports de force.
« L’absence de courage politique et la montée des intérêts nationaux au détriment du bien commun menacent nos acquis les plus précieux », alerte Amnesty International.
📢 Le regard de Com d’Afrik :
Ce constat accablant nous interpelle. L’affaiblissement du droit international témoigne d’un glissement vers un monde où la force prime sur la justice.
La montée des populismes et l’inaction face aux violations des droits humains interrogent sur l’avenir des institutions garantes de notre équilibre mondial.
Faut-il repenser l’ONU pour la rendre plus efficace ? La question est posée. 🤔
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